Lumière voilée par ici
quand soudain à travers le feuillage
le soleil projette ses rayons
sur un dos de princesse nomade
(On se croirait presque dans un vieux film italien)
Des regards se croisent
dans le creux du parc qui swingue
La musique s’étire, devient généreuse
La ville enfin a rendu les armes du jour
(On se croirait presque dans un vieux film Peace & Love)
Mais toujours ce dos d’ambre et d’ombres
Ce dos comme une Terre de Promesses
où peuvent se deviner, se déchiffrer
les rêves les plus inattendus.............
(On se croirait presque dans un parc à Lisbonne ?)
______________
Poème de Philippe Despeysses
Photo de Hervé Hette
Adieu
Il était grand, fort et joyeux
Il est mort au temps des cerises
Et des merles siffleurs.
La poésie réveille le monde de l'écriture, continuons de nous exprimer comme si c'était une prière que nous accordons a la nature.